Some things never change...

...like that string. Il sort d'un rebord éffilloché. Ohhhh, c'est tellement tentant de le tirer! Le plus que je joue avec, que je l'entortille lentement autour de mon index, le plus que le fil danse le long du rebord, zigzag et se faufile; il se fait un plaisir exquis de se défaire de son emprise et de venir se tourner autour de mon doigt. Mesmerised by this playful dance, I did not see that I was being unweaved, qu'un tout est lentement démantibulé en torchon. Le fil sourit, le mesquin.

Vaut mieux ne plus toucher au fil, ne pas le tirer. Je fais un noeud au rebord, un autre, encore un autre noeud, et je coupe le surplus. Encore une autre portion de plus décousue. Bientôt, plus rien ne tiendra ensemble. Fini. I'm moving on. That selfish string is content with unravelling, and has no will to mend.

[I'm reading a rather poignant text by F. Kiesler (Inside the Endless House), about correlation and the infinite links of the universe, and how being a one-man world is to revolt against cosmic laws and fate...too long to discuss here, I would paraphrase 3 entire pages of his poem on St.-Francis of Assisi if I could, but it seems perfectly situated in my present context]